Monsieur LABORIE
André
Le 16 janvier 2014
2 rue de la Forge
(Courrier
transfert)
31650 Saint Orens
Tél : 06-14-29-21-74.
Tél : 06-16-15-23-45.
Mail :
laboriandr@yahoo.fr
Mon site : http://www.lamafiajudiciaire.org
PS :
« Actuellement le courrier est transféré suite à la violation du domicile
en date du 27 mars 2008 par Monsieur TEULE Laurent, domicile actuellement occupé par un tiers
sans droit ni titre régulier soit Monsieur REVENU et Madame HACOUT) ».
Madame
TAUBIRA Christiane.
Ministre de la justice
Monsieur
le Directeur
Inspection des services judiciaires.
Ministère
de la justice
13 place Vendôme
75000 PARIS
Objet :
Des
atteintes à la confiance publique. «
Les différents faux »
·
Faits réprimés par les articles suivant du code pénal : Article 441-1 ; Article 441-2 ; Article 441-3 ; Article 441-4 ; Article 441-5 ; Article 441-6 ; Article 441-7 ; Article 441-9 ; Article 441-10 ; Article 441-11 ; Article 441-12
Dont plainte contre le parquet de Toulouse à
l’encontre de X :
Fax : 01-44-77-60-00
Lettre recommandée : N° 1A 093 078 1289 7
Madame le Ministre, Monsieur le
Directeur des services judiciaires,
Par
la présente, je sollicite de votre très haute bienveillance à prendre en
considération ma plainte et ma demande d’intervention auprès des autorités
compétentes.
Rappelant
que ces faits que je porte à votre connaissance sont de votre compétence et sont
très graves.
Rappel de vos attributions :
·
Que le Ministre
de la justice donne les directives de la politique pénale aux procureurs de la
république et procureurs généraux et veille au bon fonctionnement de la justice
sur le territoire français sans discrimination.
·
Que le service de
l’inspection judiciaire, représenté par son directeur veille au bon
fonctionnement des différentes juridictions à l’application stricte de la loi
sans discrimination.
Or
il se trouve que depuis de nombreuses années une carence totale sur
l’application sans discrimination de certaines règles de droit.
En
l’espèce les poursuites pénales contre les auteurs et complices des faux en
écritures publiques et authentiques alors que ces faits sont réprimés par les
articles ci-dessus.
Etant pour votre gouvernement, j’aurai pensé que vous auriez changé la politique
autoritaire de la droite qui épargnait avant votre quinquennat tous les
notables, ces derniers usant et abusant de leurs fonctions pour volontairement
faire des actes de faux soit un contre-pouvoir aux règles de droit applicables et
comme l’indique le code pénal.
Qu’à
ce jour nous pouvons constater que la politique pénale de votre gouvernement
n’a malheureusement pas changée, les discriminations aux poursuites existent
alors que le code pénal réprime de tels faits.
Que
cette discrimination est faite peut être pour réguler le pouvoir en place, permettant
à de nombreux notables, magistrats, huissiers, notaires, préfets, avocats,
agent public, de faire des faux en écritures publiques, faux intellectuels.
C’est la raison pour laquelle en tant
que citoyen français justiciable, que je me permets de vous demander si les
articles du code pénal suivant sont applicables sur le territoire français soit
en l’espèce les articles suivants :
Demande
vous est faite car après plusieurs
saisines du parquet représenté par Monsieur VALET Michel ainsi qu’au parquet
général de Toulouse soit par de nombreuses plaintes déposées depuis 2006, ce
dernier classe systématiquement les plaintes sans suite, sans une quelconque
enquête au préalable alors que les faits existent, matérialisés par les pièces
et dont la procédure du faux en principal est suivie conformément à la loi sur
le fondement de l’article 306 du cpc et suivants soit :
·
Dépôt au greffe
d’une inscription de faux en écritures publiques, motivation et pièces
justificatives.
·
Enregistrement
par procès-verbaux en deux exemplaires dont un qui est remis au demandeur.
·
Dénonce par
huissier de justice du procès-verbal aux parties pour respecter la
contradiction et pour permettre aux parties de le contester dans le mois de la
dénonce.
·
Dans la mesure
que les faux intellectuels ou en écritures publiques ont été déjà consommés, il
n’est pas utile d’assigner pour demander si la partie bénéficiaire souhaite
sans prévaloir et d’autant plus qu’aucune contestation n’a été soulevée après
dénonce.
·
Dénonce par
huissier de justice au procureur de la république faisant valoir le faux en
principal.
·
Mise de l’action
publique en mouvement par citation par voie d’action de la partie civile.
·
Mise de l’action
publique en mouvement par plainte au doyen des juges d’instruction avec
constitution de partie civile.
Soit
sur le fondement de l’article
1319 du code civil, les actes inscrits en faux dénoncés au parquet et que
l’action publique a été mise en mouvement, ces actes n’ont plus aucune valeur
authentique pour faire valoir un droit.
Que
dans cette configuration, la juridiction toulousaine civile et pénale se refuse
même de statuer au cours d’une procédure sur les différentes faux en écritures,
générant soit en sa décision rendue un faux intellectuel et cela en cascade
……. !!!!
Que
le parquet de Toulouse classe systématiquement les plaintes sans suite alors
qu’il y a flagrance de voie de fait sur les actes accomplies fondés sur des
précédents actes inscrits en faux en écritures authentiques, faux en écritures
publiques et n’ayant déjà plus une quelconque valeur authentique probante sur
le fondement de l’article 1319 du code civil.
Soit ma nouvelle demande,
·
L’article
1319 du code civil est-il applicable sur le territoire français
Je
vous joins ma dernière plainte du 18 novembre 2013 faite au parquet de Toulouse,
précédemment portés à la connaissance de Madame la Procureure Générale près la
cour d’appel de Toulouse qui cette dernière se refuse de réponse après le
classement systématique du parquet alors que les faits sont établies et
flagrants, les actes de faux en écritures publiques et authentiques sont réellement
établis.
·
Peut-être est-ce votre politique pénale à ne
poursuivre les auteurs de ces faux ?
Que
dans cette configuration de discrimination aux poursuites à l’encontre des
auteurs et complices, ces derniers continuent à établir des faux intellectuels,
faux en écritures publiques.
Que
dans ma dernière plainte du 18 novembre 2013 il est flagrant que le parquet ne
peut nier une telle configuration et l’existence de ces inscriptions de faux
car il en a déjà eu connaissance par les différentes dénonces faites par
huissiers de justice et différentes saisines personnelles sur le fondement de
l’article 40-2 du code de procédure pénale.
Que
les conséquences des agissements du parquet sont très graves et comme je le
relate dans ma plainte portée à la connaissance de Monsieur VALLS Ministre de
l’intérieur en date du 17 octobre 2013, restée
sans réponse.
Donc
de cette situation Monsieur et Madame LABORIE se retrouvent victimes comme
expliqué dans la saisine de Monsieur VALLS sans que la justice veuille se
saisir du dossier et sans que l’autorité publique intervienne pour faire cesser
ces différents troubles à l’ordre public.
Soit nouvelle demande vous est faite :
A
intervenir auprès des autorités compétentes afin d’ordonner la réparation des
préjudices causés aux intérêts de Monsieur et Madame LABORIE et pour aussi faire
cesser ce trouble à l’ordre public toujours existant soit : l’occupation
sans droit ni titre de notre propriété et comme demandé dans mon courrier
saisissant Monsieur VALLS en date du 16
novembre 2013 pour l’application de la loi DALO en son article 38 de la loi du
5 mars 2007 ( N° 2007-290)
Je
compte sur toute votre compréhension à intervenir à réception car cela porte un
discrédit à notre justice, à note pouvoir actuel.
Dans
cette attente, je vous prie de croire, Madame la Ministre de la justice et
Monsieur le directeur des services judiciaires, l’expression de mes sentiments
dévoués.
Monsieur LABORIE André
Ci-joint plaintes :
· Plainte du 17 octobre 2013 à
Monsieur VALLS.
· Demande d’expulsion faite
le 16 novembre 2013 à Monsieur VALLS.
· Plainte en date du 18 novembre
2013 au parquet de Toulouse.
· Plainte au parquet général de
Toulouse le 19 octobre 2013.
LE DETAIL DES DIFFERENTES INSCRIPTIONS DE FAUX.
ET
LES REGLES DE DROIT.